Une formation de référent·e vie intime, affective et sexuelle à la Guadeloupe

Une formation de référent·e vie intime, affective et sexuelle à la Guadeloupe

Formation de référent·e vie intime, affective et sexuelleI en Guadeloupe, 4 jours en présentiel (02, 03, 04 & 05 juin 2025) et 2 matinées en visio (26/09/25 & 21/11/25)

Formation “Animer un atelier d’éducation à la sexualité et/ou un groupe d’expression autour de la vie intime, affective et sexuelle à destination des personnes en situation de handicap” avec Adèle de Glaubitz

Formation “Animer un atelier d’éducation à la sexualité et/ou un groupe d’expression autour de la vie intime, affective et sexuelle à destination des personnes en situation de handicap” avec Adèle de Glaubitz

Il reste encore quelques places à Colmar pour la formation “Animer un atelier d’éducation à la sexualité et/ou un groupe d’expression autour de la vie intime, affective et sexuelle à destination des personnes en situation de handicap”…

Le CESE se mobilise → Éduquer à la vie affective, relationnelle et sexuelle : passer de l’obligation à l’application !

Le CESE se mobilise → Éduquer à la vie affective, relationnelle et sexuelle : passer de l’obligation à l’application !

Le Conseil économique, social et environnemental a adopté mardi 10 septembre 2024 son rapport et son avis « Éduquer à la vie affective, relationnelle et sexuelle ».
L’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle (EVARS) participe de l’émancipation des jeunes. Elle les aide à connaître leurs droits et à respecter ceux des autres, à poser des limites, à respecter leur propre corps et celui d’autrui. Elle vise à générer des rapports humains de qualité, des relations égalitaires dénuées de sexisme et de préjugés, pour construire une société plus inclusive. 

Grâce à ses outils de communication alternative et améliorée (CAA), un ado polyhandicapé de 14 ans a pu dire à ses parents qu’un éducateur l’avait violé. 

Grâce à ses outils de communication alternative et améliorée (CAA), un ado polyhandicapé de 14 ans a pu dire à ses parents qu’un éducateur l’avait violé. 

Grâce à ses outils de communication alternative et améliorée, un ado polyhandicapé de 14 ans a pu dire à ses parents qu’un éducateur l’avait violé. L’enquête, menée par la brigade des mineurs, a permis d’identifier neuf autres victimes dans cet IME parisien de la Fondation Saint-Jean-de-Dieu, et conduit au placement en détention provisoire de l’agresseur. Les parents de Nathan* témoignent.