L’hégémonie du discours du bien-être favorise la culpabilité de ne pas toujours se sentir bien, et déplace des responsabilités sociales et politiques sur les individus incités à faire bonne figure partout et tout le temps.
![4 septembre, journée mondiale de la santé sexuelle…](https://i0.wp.com/cerhes.org/wp-content/uploads/2018/09/index.png?fit=396%2C127&ssl=1)
L’hégémonie du discours du bien-être favorise la culpabilité de ne pas toujours se sentir bien, et déplace des responsabilités sociales et politiques sur les individus incités à faire bonne figure partout et tout le temps.